J’ai vu le monde – qu’on dit mondialisé et uniformisé – comme un jeu de couleurs si diverses qu’il était « Un » dans la lumière, « Un » parce que divers, « Un » comme un tableau, une grande mosaïque où chaque petit caillou dans sa nature propre, vernissé ou opaque, de granit ou de verre, était respecté et avait bien sa place.