Il y a parfois de quoi désespérer : les menaces de la grippe A (H1N1) pèsent toujours; le réchauffement climatique se fait plus important que prévu; la guerre sévit dans plusieurs régions du monde; de plus en plus de murs de béton sont érigés sur les frontières pour séparer les peuples; un ado est poignardé dans un autobus par un autre, etc.
Décider d’adopter un bébé sévèrement handicapé et abandonné à l’hôpital, appelons ça le syndrome d’Abraham et de Sarah : ne pas savoir vraiment dans quoi on s’engage, mais se lancer quand-même dans l’aventure, en en faisant une affaire de cœur.